Réalisés non loin de l'hôpital Yousef Yalaoui de Aïn Azel, les 10 et 20 logements sociaux participatifs (LSP), achevés depuis belle lurette, ne sont toujours pas livrés aux acquéreurs, ne pouvant jouir d'un bien payé rubis sur l'ong Ballotés d'un bureau à un autre, ces derniers prennent leur mal en patience. En plus des lenteurs administratives qui deviennent une spécificité sétifienne, les attributaires, des fonctionnaires dans leur majorité, sont par ailleurs obligés de prolonger l'onéreux bail de la sous-location, greffant davantage les petits budgets de ces familles, qui ne voient toujours pas le bout du tunnel. Aux dernières nouvelles, le non-raccordement des logements à électricité et au gaz naturel, est à l'origine des désagréments des bénéficiaires qui ne savent plus à quel saint se vouer.