-Square Port Saïd : dégradation des lieux Le square Port Saïd s'est dégradé ces derniers mois.A part quelques menus travaux menés par des agents de l'Edeval, l'espace autrefois très beau n'est pas entretenu ou l'est rarement. Des déchets s'amoncellent dans les quelques vasques, dans les recoins ou sur l'ancien kiosque à musique. En plus de la dégradation du peu de mobilier encore existant, le square Bresson (ancienne appellation coloniale de ce jardin) accueille une population venue d'un peu partout : des mendiants, des SDF, et même des prostituées. D'ailleurs, il n'est pas rare d'assister à des bagarres. La police, présente en nombre, n'intervient pas. Les piétons qui passent par là pressent le pas le soir, mais aussi la journée de crainte d'être agressés par des jeunes délinquants, souvent sous l'effet de psychotropes. Les vols et les agressions à main armée sont légion dans cet endroit malfamé que les autorités devraient reprendre et en faire un lieu plaisant. -Les Asphodèles (Ben Aknoun) : congestion à toute heure Les travaux de doublement de la rue des Asphodèles (actuelle Ahcène Mahiouz) à Ben Aknoun n'ont rien arrangé. La circulation sur cette route devenue, depuis quelques semaines, à deux voies, est infernale et pas seulement aux heures de pointe. Les automobilistes avancent pare-choc contre pare-choc de l'entrée du centre commercial, situé en bas de la Fac de droit jusqu'à la sortie de la des cité filles, et plus loin encore. Les automobilistes restent plusieurs minutes sur cette route où plusieurs ronds-points démesurés sont installés par les services de la Direction des travaux publics (DTP). L'autre problème soulevé par les piétons : les trottoirs rétrécis et le risque d'accident sur cette route fréquentée par les habitants de la cité Mahiouz et les nombreux étudiants et lycéens. -Cabines oria : à l'arrêt mais non déboulonnées Les cabines téléphoniques Oria, placées dans plusieurs endroits de la capitale, ne sont plus fonctionnelles. Le hic, c'est que les autorités ne sont pas décidées à les déplacer. En plus d'amocher la ville, ces cabines, installées par un opérateur privé, sont abandonnées. Certaines ont été saccagées lors des émeutes qu'a connues Alger. Il n'en reste que la carcasse.