Le plan comportant le rez-de-chaussée et le premier étage a été mal conçu, puisqu'à l'extrémité de la partie supérieure il manque un local inférieur. C'est là que les délinquants allument durant la nuit un feu pour se réchauffer en s'adonnant aux boissons alcoolisées et à la drogue. Suite aux dernières mises en demeure reçues pour ouvrir leur local à usage professionnel et artisanal, plusieurs bénéficiaires ont entamé des travaux d'aménagement. Cependant, l'absence de toilettes et l'intrusion nocturne de délinquants les découragent, comme en témoigne l'un d'eux. «Un représentant de la DLEP nous a expliqué que des travaux d'assainissement ont été prévus, mais ils n'ont pas été réalisés faute de temps, en raison de la visite d'inauguration du site par le président de la République.» Par ailleurs, le plan comportant le rez-de-chaussée et le premier étage a été mal conçu, puisqu'à l'extrémité de la partie supérieure il manque un local inférieur. C'est là que les délinquants allument durant la nuit un feu pour se réchauffer en s'adonnant aux boissons alcoolisées et à la drogue. L'installation des toilettes sur cette dalle peut régler ce problème de sécurité, nous dit-on. Un promoteur nous a appris qu'il avait sollicité à ce sujet les autorités locales qui avaient promis de se rendre sur le site qui se trouve à la cité Bellouche, communément appelée «Mimoun», pour étudier la question. Par ailleurs 92 locaux à usage professionnel ont été distribués dernièrement par la daïra de Boufarik au profit de chômeurs entrepreneurs résidant à Sidi Aïssa (37), à Guerrouaou (36) et à Soumaâ (19). Et cela, conformément à la circulaire interministérielle relative à l'octroi de ces locaux sous forme de location, dans le cadre des dispositifs de l'Ansej, de la Cnac et de l'Angem, dans la perspective d'élargir l'exploitation à d'autres activités, notamment artisanales et professions libérales. Avant la remise des décisions d'affectation des locaux implantés dans les trois localités citées, le chef de la daïra de Boufarik, en présence du directeur de l'AADL et des présidents des communes concernées, a mis l'accent dans son discours sur la nécessité pour les entrepreneurs de commencer à exercer leur métier et de ne pas laisser leurs locaux fermés, comme c'est le cas des 427 locaux achevés et livrés à Boufarik depuis 2007. Une dernière mise en demeure leur a été envoyée à cet effet.