La rue Djebar Amor interdite d'accès L'affront à la population locale continue et les engins éventreurs de chaussées ont été redéployés pour la 4ème fois consécutive à la rue Djebar Amor, l'unique voie menant vers et depuis l'ancienne cité. Depuis l'élimination de la rue Saint Augustin et de deux autres artères principales, par un promoteur chargé de la réhabilitation de la mosquée El Amen, aucune route n'assure le passage des voitures vers la sphère sud de la cité où vit la moitié de la population de Souk Ahras. Il y a quelques jours, un mouvement de circulation anarchique a été constaté dans plusieurs rues et ruelles du centre-ville. Des embouteillages à la rue Ibn Badis et des rixes à la rue Victor Hugo. Des voitures neuves déformées et des trottoirs transformés en voie de secours à la rue Braktia Abderrahmane. La vie des écoliers est mise en péril par l'arrivée en masse des véhicules roulant en sens interdit près de l'école Pasteur. Mercredi dernier, la colère des riverains était à son paroxysme et des jeunes se sont regroupés en signe de protestation. «Nous avons assez enduré de ces engins polluants et au bruit assourdissant», a lancé un jeune mécontent. Des personnes âgées ont réussi à apaiser les esprits, mais tenu à confier que chaque chose a une limite avec les désagréments et les risques d'accidents causés par les éventrements répétitifs de la chaussée.
Saisie de 6310 pièces accessoires pour câbles électriques La brigade mobile des services de la douane relevant de la circonscription de Souk Ahras ont récemment procédé à la saisie de 6310 pièces accessoires pour câbles électriques en provenance du territoire tunisien, et ce au niveau de la sortie de la daïra de Taoura. La marchandise saisie était transportée illégalement à bord d'un véhicule de marque Renault 25 et devait être écoulée dans le marché national, a-t-on appris auprès de la direction de la douane.La même source a indiqué que ses services ont intervenu au lieudit El Mehress dans la même commune pour faire avorter une tentative d'acheminement de 1500 litres de gas-oil vers la frontière. Le comportement suspect d'un automobiliste à bord d'une voiture de marque Citroën a éveillé les soupçons des éléments de la brigade mobile qui ont aussitôt engagé une course-poursuite couronnée par ladite saisie ainsi que le moyen de locomotion utilisé dans cet acte frauduleux. Le mis en cause a réussi à prendre la fuite à la faveur de le nuit...