Torture quotidienne dès les premières heures de la nuit sur la route menant vers Mimèche, limite est de la commune de Bouarfa. L'éclairage public totalement absent sur une route sinueuse escarpée est en très mauvais état. Deux lampes seulement activent à un virage illuminant le domicile du maire intérimaire de Bouarfa, pendant que ses citoyens bravent les dangers tels les chutes, les braquages, les agressions et se hâtent de rejoindre leurs habitations pour ne plus sortir. Cela fait plus d'une année que la situation dure et les non-habitués de la région n'osent jamais s'aventurer sur cette route d'où un regard plongeant sur la ville de Blida en contrebas mérite un arrêt de jour comme de nuit sans parler des senteurs de plantes rares, rares parce qu'épargnées par la pollution. Le gaz de ville est promis avant la fin de cette année, mais qu'en est-il de la lumière ?