-Réghaïa : Réalisation d'une station de bus Un projet de réalisation d'une station de transport urbain à Réghaïa est en phase finale. D'après le président de l'APC, M. Mahmoudi, «le projet a nécessité une enveloppe de 4 milliards de centimes. Il offrira aux voyageurs des localités de Houch El Makhfi et Ouled Haddadj des commodités devant répondre à leurs besoins», souligne-t-il. Signalons que l'endroit, qui sert actuellement de station de bus, n'est autre qu'un terrain vague situé sur les rives d'un oued hautement pollué. «Dans cette station, il n'y a ni abribus ni quais. Le périmètre qui sert de station est un terrain vague dépourvu de revêtement en bitume. Durant la saison hivernale, on patauge dans la boue. En été, ont doit supporter la poussière et les odeurs émanant de l'oued», affirme un usager. Cette situation de déliquescence sera certainement atténuée par la mise en service de cette station dotée d'abribus et de toilettes publiques. Néanmoins, les usagers du transport en commun soulèvent le problème de la vétusté des bus qui assurent la navette entre le chef-lieu de la commune et les deux localités que sont Ouled Haddadj et Houch El Makhfi. -Bordj El Kiffan : Routes et trottoirs dégradés A la cité Eddoum, dans la commune de Bordj El Kiffan, l'état de la chaussée est tel qu'il devient périlleux pour les automobilistes de s'y aventurer. Des excavations et des trous béants jonchent toutes les venelles et artères du quartier, rendant la circulation routière difficile. Pourtant, il s'agit d'un quartier qui se trouve aux abords d'une route nationale, en l'occurrence la RN 24, qui plus est est fréquentée par des milliers d'automobilistes. D'après des habitants, l'état de dégradation que connaissent actuellement les routes de leur cité remonte à des années. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, cette situation n'a suscité auprès des responsables locaux aucune forme d'intérêt. En attendant que ces derniers se penchent sur la question, les automobilistes devront prendre leur mal en patience. «On devrait ester les responsables de l'APC en justice pour négligence, tant l'état des routes est déplorable», fulmine un habitant de la cité. Signalons que cette situation concerne la plupart des cités et lotissements de la commune, notamment la cité Faïzi, à Rassauta, la cité SNTR et Nakhlet.