Dès son jeune âge, la charmante étudiante Amira Ghazi, au sourire angélique, est tombée sous le charme du ballon rond. Elle est devenue avec le temps une accro de football. En plus de ce grand amour pour le football, Amira Ghazi porte un intérêt capital à ses études ; elle poursuit actuellement son cursus à la Faculté d'Oran. Comme chaque étudiante algérienne, sa joie fut grande lors du Mondial brésilien. Le motif de cette allégresse est la grande prestation de l'équipe nationale algérienne lors de la Coupe du monde de football au Brésil. Pour Amira, c'est plus qu'un rêve. «Les étudiants du monde entier partageaient la joie avec les étudiants algériens chaque fois que les verts livraient une grande prestation au cours des matchs joués contre les autres nations», dira Amira avec une fierté pour les siens. «J'avoue que j'étais épatée par le jeu de haut niveau présenté par nos joueurs qui se battaient comme des guerriers sur la pelouse. C'était beau de les voir défendre les couleurs du drapeau algérien pour arracher un ticket historique vers le second tour», explique-t-elle, avant d'ajouter : «Pour moi, la Coupe du monde dépasse même la beauté du jeu (foot) à son niveau le plus haut — quand des milliards de personnes s'arrêtent dans le monde entier, une fois tous les quatre ans, pour admirer les mêmes jeux et partager le même enthousiasme, le mélange culturel et l'énergie est hallucinant. C'est dans cet esprit des moments partagés que j'ai observé les Verts atteindre leur but.» Et comment avez-vous vécu la joie de la qualification des Verts en huitièmes de finale ? Pour Amira, les moments qui ont précédé le coup de sifflet final de l'arbitre mexicain annonçant la qualification pour la première fois dans l'histoire de l'Algérie en second tour du Mondial «ont été indescriptibles», décrit cette étudiante. «Je pense que pour tout Algérien ces moments resteront gravés au fer rouge dans nos mémoires. Pour ma part, la joie était indescriptible, elle atteignait son apogée lorsque je recevais des messages de félicitations d'amis AIESECers, à travers les quatre coins du monde, qui partageaient ce moment de joie avec presque autant d'excitation que moi», dit-t-elle. Ça c'est sur le plan sportif. Sur le plan universitaire, Amira Ghazi est une «militante» active à AIESEC Oran. Ici, elle veut se former et devenir un acteur principal dans le monde du business en Algérie. Il y a quelques jours seulement, AIESEC Oran a ouvert ses portes à 85 étudiants venant d'Oran, Constantine, Alger et Blida pour entamer le tout premier séminaire national parrainé par l'AIESEC Algérie (Association de développement des capacités des jeunes - Alger). L'événement a fait son entrée en matière par des sessions aux thèmes classiques mais enrichies avec les connaissances les plus récentes en matière de leadership et de relationnel entre un membre et son organisation à travers : l'appartenance, l'organisation, la gestion de projet, sans oublier l'art de discourir en public…