- Draria : Un tronçon routier plongé dans l'obscurité Un tronçon routier très fréquenté menant de Draria vers Seballa est plongé dans l'obscurité la plus totale. En effet, ce tronçon, comportant plusieurs établissements publics, tels qu'un collège, un poste de police et de nombreux magasins n'est éclairé durant la nuit que par... les étoiles ! Les habitants crient au scandale. Salim, un père de famille, explique que l'état de la chaussée est déjà un problème en lui-même. Le soir, il n'arrive même plus à s'orienter convenablement. «Je travaille parfois tard la nuit. Sur le chemin du retour, je n'arrive pas à m'orienter convenablement. J'essaye d'éviter toutes les crevasses et les trous, mais à cause du manque de visibilité, cela devient de plus en plus compliqué», affirme encore Salim. Plusieurs communes de la capitale ne bénéficient pas d'éclairage public, à l'instar de Baraki, Sidi Moussa et Meftah, cette dernière abrite un tronçon sur quatre kilomètres. - Cité Hayat (Semmar) : odeurs NAUséabondes La cité Hayat, dans la commune de Semmar, n'arrive plus à contenir les ordures du marché informel. En effet, cette dernière se retrouve asphyxiée par l'odeur des ordures en décomposition des nombreux vendeurs de fruits et légumes. En effet, ces nombreux vendeurs installés aux abords des cités ont constitué un véritable petit marché à ciel ouvert. Petites camionnettes, échoppes constituées de bois et de tôle forment ainsi le marché informel de la cité Hayat. De ce fait, la circulation se trouve ralentie par les nombreuses voitures qui stationnent en 2e position. Par ailleurs, ces vendeurs engendrent des ordures et des déchets de toutes sortes. Ce qui provoque la colère des habitants mitoyens avec ce marché. Les échoppes se trouvant sur les trottoirs, ainsi que les passants doivent cohabiter avec les nombreux automobilistes et semi-remorques qui transitent par cette route. Il faut savoir que la commune de Semmar abrite une importante zone de dépôt de denrées alimentaires.