De jeunes insoumis attendent une décision réparatrice Plusieurs jeunes Algériens, pour différentes raisons, ne se sont pas inscrits sur les registres du service national, ou tout simplement, ont fait l'impasse sur la visite médicale. Considérés comme insoumis, selon la réglementation en vigueur, ils ne peuvent donc bénéficier ni de la dispense ni du sursis. Devant cette situation, les concernés attendent avec impatience une décision leur permettant de s'inscrire régulièrement au service national, sachant que plusieurs mesures ont été prises par la tutelle pour permettre une régularisation des cas jusque-là en suspens. Caravane contre les intoxications alimentaires Des caravanes de sensibilisation contre les intoxications alimentaires seront lancées début juin à travers plusieurs communes du pays. Cette opération initiée par la direction du commerce vise à sensibiliser les populations dans les différents endroits sur les risques alimentaires et les dangers que représentent les aliments périssables, non étiquetés ou mal entreposés. Avec la chaleur, qui s'est déclarée tôt cette année, cette caravane sillonnera plusieurs localités, surtout les communes balnéaires, où des conseils seront prodigués aux consommateurs. Fabrication de médicaments biosimilaires Les laboratoires Frater-Razes, un groupe pharmaceutique privé 100% algérien, activant sur le marché pharmaceutique grâce à sa gamme de 66 médicaments de forme sèche et de forme injectable, viennent de lancer la production de médicaments biosimilaires dans leur usine de production située à Oued El Karma, à Alger, en créant un pôle de biotechnologie répondant aux normes exigées. Ainsi, les laboratoires Frater-Razes, dont l'assise en termes de potentiel humain s'élève à près de 850 employés, encadrés par un éventail de techniciens formés et hautement qualifiés, seront les premiers à fabriquer les médicaments bio similaires destinés aux patients atteints de cancer et de maladies auto-immunes. Manque de liquidités et pannes de réseau Les bureaux de poste continuent d'enregistrer un manque de liquidités, une situation qui agace les citoyens. Si la pénurie n'est certes pas généralisée, comme ce fut le cas il y a deux années, il n'en demeure pas moins que le manque de liquidités est très souvent signalé à travers plusieurs bureaux de poste du pays. Ces derniers font face aussi aux récurrentes pannes du réseau qui pénalisent grandement les usagers. La toute nouvelle et jeune ministre du secteur doit accorder une attention particulière à ce secteur des postes qui doit répondre aux exigences de plus de 12 millions d'Algériens.