- Transport en commun : Absence de navettes à partir de Heuraoua Pour se rendre à Alger, les habitants de la nouvelle cité AADL de Heuraoua doivent marcher jusqu'au chef-lieu de la commune pour prendre ensuite le bus à Rouiba. A partir de là, ils peuvent, soit prendre le train, soit le bus pour le centre-ville. Il n'y a pas de moyens de transport dans leur cité. «Le problème du manque de transport dans notre cité est un problème de taille, car il influe directement sur notre travail et sur la scolarité de nos enfants», confie un résidant. Le même problème se pose également dans la localité de Souachet, où une cité nouvellement construite est dépourvue de transport. Pour rallier le centre-ville d'Alger, d'où sont issus la plupart des habitants, ces derniers doivent attendre les bus qui viennent de Dergana et qui, la plupart du temps, ne s'arrêtent pas. «Il n'y a pas de bus qui prennent le départ à partir de la cité. Pour aller à Alger, nous sommes dans l'obligation d'intercepter les bus qui font la navette entre Dergana et Tafourah. Il arrive une fois sur deux que ces bus ne s'arrêtent pas», déplore un résidant. Et d'ajouter : «Le même problème se pose également pour les habitants qui veulent aller à Rouiba.» Les nouveaux résidants demandent à ce que les autorités compétentes se penchent sur ce problème. «Nous sommes issus pour la plupart d'entre nous de la commune de Belouizdad, nous y travaillons, d'où la nécessité de mettre en place des navettes», concluent nos interlocuteurs. - Route Rouiba-Aïn Taya : Un rond-point doté de ralentisseurs A Rouiba, de nouveaux dos-d'âne ont été installés en amont d'un rond-point. Pour obliger les automobilistes à respecter la priorité, les pouvoirs publics n'ont pas trouvé mieux que d'installer ces ralentisseurs, qui plus est, sur une route à grande circulation. Tout au long de cet important axe routier, qui relie la commune de Rouiba à celle de Aïn Taya, plusieurs ralentisseurs ont été installés, réduisant la fluidité. Des embouteillages se forment dans plusieurs endroits, pénalisant les automobilistes. Les voitures peinent à franchir ces monticules abrupts. «Il y en a de toutes les formes et de toutes les dimensions. Les autorités qui interviennent sur la chaussée doivent unifier ces ralentisseurs. Ils doivent répondre aux normes», suggère un automobiliste. - SDA Gué de Constantine La direction de la distribution de Gué de Constantine tient à remercier la rédaction du quotidien El Watan, suite à son illustration dans la rubrique Sur le vif parue le 6 février. Une équipe a effectué une visite sur le lieu indiqué et procédera au remplacement dans les plus brefs délais.