Bonatiro primé à Bruxelles Loth Bonatiro, le célèbre sismologue algérien, vient à nouveau de s'illustrer en obtenant deux médailles d'or et d'argent décernées à Bruxelles, récompensant ses travaux liés à l'architecture des édifices islamiques antisismiques et sa fameuse montre. Il y a un mois, notre chercheur a été l'invité d'honneur d'une prestigieuse association londonienne où il a été honoré pour son parcours dans le domaine de l'astrologie et les moyens mis en œuvre pour lutter contre les séismes et les catastrophes naturelles. Bonatiro, l'enfant terrible du Craag, dont il est pratiquement exclu, s'est déployé ces derniers mois en multipliant les sorties pour faire connaître le fruit de ses recherches. Si la reconnaissance internationale l'agrée, le comble, il n'en est pas de même chez lui en Algérie, comme le fameux dicton le dit : « Nul n'est prophète en son pays » semble se confirmer en ce qui le concerne. Heureusement que le silence assourdissant, qui entoure ses performances chez nous, a été rompu par une missive émanant du chef du gouvernement, M. Belkhadem, qui le félicite et l'encourage à persévérer. Cette lettre, selon le concerné, lui a fait beaucoup de bien et l'incite à multiplier ses efforts, pour encourager la recherche scientifique dans notre pays. La grogne des étudiants en médecine de Blida Les étudiants en médecine (7e année) de l'université de Blida lancent un SOS aux responsables concernés. Il s'agit notamment des étudiants en pédiatrie internes à la clinique Ben Boulaïd. Selon une étudiante, les chambres sont dans un état déplorable : matelas pourris, odeurs d'urines, etc. En outre, l'absence de sécurité engendre souvent des vols. Le comble, chaque chambre accueille 10 étudiants (trois personnes pour un seul lit). Dans ces conditions, la formation de ces futurs pédiatres de la nation devient problématique. Les responsables devraient faire un tour du côté de la clinique Ben Boulaïd pour constater de visu. Capture record de langoustes « sexagénaires » à Jijel Une capture record de langoustes « sexagénaires » a été réalisée, samedi en fin d'après-midi, par un pêcheur au large des côtes de Jijel. Toute une « famille » de ces décapodes a été accrochée dans les filets de Abdelkader le pêcheur, à 300 m de profondeur, au large des côtes de Jijel, au moyen d'un filet à langoustes. L'un de ces décapodes, apparemment le « grand-père » de la « famille », est âgé de... 62 ans, la grand-mère 59 ans, le père 48 ans, la mère 46 ans, un « oncle » de 59 ans ainsi que leurs deux « enfants » âgés chacun de 46 ans. L'âge de ces crustacés se mesure avec le poids (100 g équivalent à une année d'âge), indiquent les spécialistes. Le poids total de ces sept langoustes, se baladant en groupe, est de 36 kg et leur valeur est estimée sur le marché à 120 000 DA. Cette prise exceptionnelle qui a attiré les badauds et les visiteurs a été exposée dans un vivier au port de pêche de Boudis, chez un armateur. Un aveugle turc condamné à un cours de lecture et d'écriture La justice turque a condamné un retraité aveugle âgé de 73 ans à suivre un cours d'écriture et de lecture de près d'un mois pour ne pas avoir voté à temps lors d'une élection à la coopérative de son village. Selon le fils du septuagénaire, Ismaïl Canseven a été condamné à cette peine par un juge de la province de Kuthahya, dans le nord-ouest de la Turquie, pour ne pas s'être présenté lors de l'élection du conseil d'administration de la coopérative organisée en mai. « Que vais-je bien pouvoir faire dans une bibliothèque, mes yeux ne me servent à rien et je ne peux ni lire ni écrire », s'est lamenté le vieillard dans l'édition de vendredi du quotidien Hurriyet. Le fils de l'infortuné aveugle a annoncé son intention de faire appel.