Vers la création de l'association des critiques algériens C'est au Centre culturel français de Annaba où avait été projeté ce jeudi Les 400 coups, le film du réalisateur français François Truffaut que le cinéaste algérien Ahmed Bensalah a annoncé la création prochaine de l'Association des critiques algériens. « Les critiques algériens se réuniront la semaine prochaine à Alger pour procéder à la création de leur association. Ce n'est pas parce qu'il n'y a plus de salle de cinéma chez nous que le critique ne doit pas exister » a-t-il précisé. Cette annonce a été très applaudie par le nombreux public qui a participé aux débats animés par ce cinéaste. Création du conseil consultatif local de la CNEC A Annaba où il a présidé une rencontre régionale des membres de la Coordination nationale des enfants de chouhada de 16 wilayas de l'Est, Khaled Bounedjma a procédé à l'installation du conseil consultatif de la société civile de la wilaya de Annaba. Composé de 60 membres, ce conseil aura pour mission de recevoir les candidatures et de retenir les noms des représentants de la CNEC au titre de candidats indépendants dans la course à la députation. Crise chez les notaires Le monde des notaires est en crise. Ils sont 32 à Annaba à appréhender leur devenir face à une justice qui a déjà suspendu 5 d'entre eux pour des motifs qui, 10 mois après l'application de la mesure, restent encore à préciser. « Cela fait 10 mois que nos confrères sont injustement suspendus par le ministre de la Justice. Il est grand temps que notre profession s'organise car la division des rangs permet tous les dépassements. Aujourd'hui, ce sont les notaires de Annaba. Demain, ce sera au tour d'autres à travers le pays », a affirmé un de ces hommes de loi. La même situation est constatée à l'ordre des huissiers où l'on parle également de dépassements, dont auraient été victimes plusieurs de ces auxiliaires de justice. Gaspar au lycée Saint Augustin Qui des anciens ou des nouveaux élèves et enseignants du lycée Saint Augustin ne connaît pas Gaspar. Il s'agit d'un vrai squelette d'être humain datant de plus d'un siècle et utilisé lors des cours de sciences humaines par les enseignants. Selon des sources concordantes, il s'agirait d'un soldat français tué au lendemain de l'occupation de Bône par l'armée française au début du XIXe siècle. La directrice et les enseignants sont aux petits soins pour ce trésor unique en son genre qui sert aux potaches à mieux connaître l'armature squelettique humaine.