Les bus tournent en rond En l'absence d'un plan de transport urbain efficient, d'une gare routière et stations de bus dignes de ce nom, 174 bus gravitent autour et à l'intérieur du tissu urbain du chef-lieu de wilaya. Ils tournent en rond depuis plusieurs années sur des tracés aléatoires et souvent très longs. Cette situation provoque journellement des désagréments aux usagers de la voie publique, qu'ils soient automobilistes ou simples piétons. Les huit lignes formant la toile du transport urbain au niveau de la commune de Guelma, sont une aberration et tout le monde s'en plaint. Les manœuvres dangereuses provoquent des accidents mortels de la circulation, sans compter de la pollution engendrée. Concernant les points d'arrêts, leur non-aménagement sur la voie publique fait qu'ils n'ont aucune raison d'être, même à titre temporaire. Des arrêts au niveau du boulevard Souidani Boudjemaa, en amont et en aval du boulevard du Volontariat et des arrêts face à notre pseudo gare routière, en sont des exemples criards. Aménagement de l'oued Zenati Traversant de part en part la commune et le chef-lieu de daïra qui porte son nom, l'Oued Zenati est un cloaque à ciel ouvert car source de maladies à transmission hydrique et parasitaire. Une « plaie » qui, selon le P/APC d'Oued Zenati va être refermée et bétonnée par l'ETAN (entreprise spécialisée dans des ouvrages touchant à l'hydraulique). Une enveloppe sectorielle de 76 milliards de centimes a été allouée au projet. Le chantier est en voie d'installation et la première tranche des travaux a pour délai de réalisation 6 mois.