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Gestion de l'eau à Aïn Defla
Des besoins grandissants
Publié dans El Watan le 27 - 06 - 2007

Le développement de l'agriculture dans la wilaya de Aïn Defla continue à se heurter à de nombreuses contraintes, en dépit des énormes potentialités recensées dans ce secteur. D'abord, sur le plan naturel (climat, pluviométrie, zones homogènes).
En plus de l'existence d'un réseau important d'infrastructures socioéconomiques. Parmi les contraintes, figure, en bonne place, celle liée à la gestion de l'eau. Un paramètre incontournable dans ce secteur vital dans lequel la lutte pour l'autosuffisance alimentaire ne peut réussir. Aïn Defla, comme tout un chacun sait, est d'abord réputée pour la culture de la pomme de terre. Pourtant, cette wilaya possède une bonne aptitude agronomique aux agrumes, oliviers intensifs et aux cultures industrielles, notamment dans les zones s'étendant en plaines du haut Cheliff jusqu'aux zones limitrophes. Mais selon notre source principale, le DSA, le fellah n'a de souci que de s'adonner à la culture de la pomme de terre. Celle-ci occupe quelque 11 000 ha pouvant assurer une production de 4 millions de quintaux dans le meilleur des cas. Cette année, la production subira une perte de 30% à cause de l'apparition du mildiou, maladie des végétaux. Cependant, ajoutera Achour Merazga, le DSA, les conséquences sur la culture auraient pu être limitées si la wilaya disposait de stations météorologiques à l'est et à l'ouest. Par ailleurs, ajoutera notre interlocuteur, Aïn Defla est tenue d'assurer les besoins en matière de semence à l'échelle nationale. Ceux-ci sont de l'ordre de 50 000 à 60 000 tonnes au titre du programme de semence de la pomme de terre. Un programme à réussir, dira l'orateur, mais conditionné par une meilleure maîtrise de la gestion de l'eau, actuellement défaillante. Faut-il rappeler que la wilaya de Aïn Defla est sur le plan hydrique hautement privilégiée. D'abord, disent les responsables, en raison des fortes potentialités existant en plaine où l'on enregistre 65 000 ha dont 39 000 ha irrigables. En tout, il y est enregistré une pluviométrie non négligeable, voire satisfaisante, notamment au niveau des montagnes (Dahra-Zaccar). Enfin, grâce aussi à un patrimoine forestier important (70%) dans les montagnes sud (Ouarsenis). Cette année a été exceptionnelle sur le plan des eaux pluviales, puisque la wilaya a reçu un taux record entre janvier et avril estimé à 371 mm, soit l'équivalent d'une année. Cependant, fera observer le DSA, il s'agit de se poser la question de savoir quels sont les besoins réels en eau destinés à l'irrigation ? Quelles sont les capacités exactes en eau au niveau des nappes phréatiques notamment ? Les réponses à ces questions permettront, selon lui, de maîtriser la gestion de cette ressource et contribuera à l'essor du secteur. En somme, il s'agit ni plus ni moins de redéfinir la politique de l'eau d'irrigation, notamment en encourageant l'implantation de stations d'épuration des eaux usées, exemple au niveau des oueds, et rationner l'eau, en concertation avec tous les partenaires.

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