Le bureau de wilaya de la Fédération nationale des agences immobilières (FNAI) s'est réuni jeudi dernier au palais de la culture Malek Haddad, en présence des gérants de quelques agences immobilières, pour animer une journée d'étude portant sur la valorisation de la profession, la sauvegarde de la déontologie et la contribution à une meilleure circulation de l'information entre les différentes agences, en attendant un statut qui régisse leurs activités. Il a été relevé que seulement le tiers des 170 agences immobilières existantes dans la ville adhèrent à la FNAI, soit 70. Ce constat a particulièrement gêné les membres de la fédération, lesquels pensent que pour une meilleure qualité de travail, il faudrait instaurer des contacts et une méthode de travail ordonnée et commune entre confrères. Estimant que la profession n'est pas assez « reconnue », voire « crédible », le président du bureau de wilaya de la fédération, Nourredine Berkat, préconisera de réorganiser la profession en encourageant la majorité des agences à adhérer à la fédération, en respectant le code de déontologie en vigueur et exigeant même de mettre au point un logo commun pour distinguer les agences adhérentes de celles non adhérentes, en vue de sécuriser, selon lui, la profession. Aussi dans le cadre de la réorganisation de cette fonction, les membres de la fédération s'engagent à instaurer des formations pour les futurs gérants des agences immobilières. Pour ce faire, un dossier a été déposé auprès du ministère du Commerce afin d'obtenir une réglementation et gérer au mieux la profession. Par ailleurs, une agence de communication adhérent à la FNAI, et qui vient de faire son entrée timidement dans le domaine du commerce, a proposé ses services aux gérants des agences immobilières, en leur exposant sur data show leur méthode de travail. Elle s'engage, à partir d'un site web, à faciliter l'accès aux clients pour mieux cibler leur choix sur les appartements, villas et autres locaux, en leur proposant de porter sur le web leurs annonces, avec ou sans photos ou vidéo. Le client pourra, grâce à cette méthode, effectuer des visites virtuelles, et avoir ainsi une idée au préalable sur le produit qu'il veut acquérir. A signaler que les tarifs d'une telle démarche varient selon le mode de l'annonce ; à titre d'exemple, une annonce dite simple, sans photo ni vidéo coûterait, selon le responsable de cette boîte de communications dans les 400 DA. Pour les personnes désireuses d'en savoir plus sur ce nouveau procédé, l'adresse du site web a été communiquée à l'assistance, en l'occurence, www.location-dz.com