L'Unpef organise ses vacances Dans le cadre de ses activités sociales, l'union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef), organise au profit de ses adhérents et de leurs familles des séjours dans des camps de vacances au niveau des plages de l'est du pays. Les vacances s'étaleront du 25 juillet au 20 août, et se dérouleront sur quatre vagues d'une durée moyenne de huit à dix jours chacune. Le bureau de L'Unpef, indique le secrétaire de wilaya, Lamri Zeggar Abdelouahab, a jeté son dévolu sur le littoral annabi, vu les avantages et l'attrait touristiques qu'offre la région. A cet effet, des sorties à Seraïdi, à la basilique Saint Augustin et au parc d'attractions sont prévues à l'endroit des vacanciers, le tout moyennant une participation financière symbolique. Incendies : des dégâts considérables Entre le 1er juin et le 20 juillet, les services de la Protection civile ont effectué pas moins de 293 interventions, qui se sont soldées par des dégâts importants. L'on déplore à cet effet, la destruction de 1 290 ha de céréales, 513 ha de broussailles, 3028 et 1,5 ha d'arbres fruitiers, 29 550 bottes de paille, et 114 ruches d'abeilles. Les feux de forêts ont, à leur tour, causé la perte de 13 ha et 125 pins d'Alep, 1 ha de chênes-lièges, 7 ha de maquis et 26 ha de chênes. La recrudescence des feux de récolte, particulièrement cet été, serait due à la propagation d'étincelles produites par les moissonneuses-batteuses. Ça sent mauvais à la CNEP ! Les 500 résidents de la cité des 500 logements CNEP de Chelghoum Laïd sont sous la menace de propagation de MTH. Le problème ne date pas d'aujourd'hui, puisque des habitants affirment avoir, à maintes reprises, tiré la sonnette d'alarme sur le phénomène persistant des eaux stagnantes et nauséabondes qui inondent les caves de quelques immeubles. Face à la situation périlleuse que subissent de plein fouet les riverains, les responsables concernés semblent n'en avoir cure, dès lors que rien n'a été entrepris, depuis que ce grave problème d'environnement s'est manifesté, il y a trois à quatre années. De guerre lasse, les habitants de ce quartier, censé être résidentiel, continuent de subir les émanations pestilentielles, sans rien voir venir des autorités compétentes.