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Adrar : Usager cherche Taxi désespérément
Publié dans El Watan le 08 - 10 - 2007

Les usagers vivent le calvaire, surtout quand-ils sont pressés par l'urgence telle que les maladies, les accouchements, les piqûres scorpionniques, les accidents domestiques, etc.
Le registre des agréments pour la profession d'exploitation taxi au niveau de la direction des Transports fait état de plus de 350 opérateurs « taxis urbains » pour la ville d'Adrar uniquement. Cependant, et malgré tout ce nombre important, les usagers éprouvent d'énormes difficultés lors de leurs déplacements à trouver un taxi. Si cette carence est nettement marquée, comme dans les villes du pays, aux heures de pointes, pour Adrar elle est quasiment permanente : le matin très tôt, entre 13 et 17 heures, durant le mois de Ramadhan, juste après le Ftour, tard dans la nuit et, enfin, les week-ends, jusqu'à samedi à midi. En effet, se procurer un taxi dans cet intervalle de temps relève réellement du miracle. C'est en réalité le calvaire des citoyens non motorisés d'Adrar, surtout dans les moments urgents tels, que les maladies, les accouchements, les piqûres scorpionniques, les accidents domestiques, etc. D'autres usagers sont aussi pénalisés par cette carence, ce sont les voyageurs par autocar qui arrivent à des heures tardives de la nuit en provenance d'Oran, de Béchar ou de Ghardaïa. En effet, il est très rare de voir un taxi sur l'aire de stationnement qui lui est réservée au niveau de la gare routière, entre minuit est 2 heures du matin, même pas le taxi sensé être de permanence entre 21 et 5 heures du matin.
Disparités
Selon nos informations, cet incohérence entre le nombre de taxis et leurs disparités dans la ville s'explique d'abord par le fait que les deux tiers des opérateurs taxis individuels sont originaires des 294 Ksour, ce qui fait que dès le mercredi soir, ces derniers regagnent leurs domiciles familiaux et laissent un grand vide. D'autre part, la ville d'Adrar commence à adopter un train de vie accéléré et les citoyens ne se sont pas encore adaptés au nouveau rythme de développement que connaît la région ces derniers temps, on le constate dans leur us et par le fait qu'ils ne commencent leur travail qu'après 8 heures du matin, pour s'arrêter au moment de la sieste, jusqu'à 17 heures, puis rentrent dès 20 heures. Sur le terrain, nous remarquerons que les taxis qui circulent pratiquement à toutes les heures de la journée sont conduits par des chauffeurs autres que les conducteurs locaux. Cependant, cette situation profite à une autre corporation de transport irrégulière, celle des clandestins qui commence à prendre des proportions considérables. En effet, ce sont des véhicules tous neufs disposant d'un signe distinctif presque commun, celui d'un porte bagage en caoutchouc noir sur la toiture du véhicule, et qui arpentent les rues de la ville en proposant leurs services aux usagers. Même s'ils sont en situations irrégulières vis-à-vis de la réglementation, de l'avis des observateurs et des citoyens, ils sont d'une grande utilité pour la population dans une ville où le taxi règne en seigneur, d'autant plus que leurs tarifs sont équivalents.


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