Il est regrettable de voir comment certains espaces publics font l'objet de squat, parfois avec la complicité de fonctionnaires. C'est le cas de la cité Kaddour Rahim à Hussein Dey dont la cinquantaine de familles interpellent les autorites locales sur les motifs évoqués pour l'appropriation d'un espace vert par une institution publique, à savoir l'OPGI. Cette dernière, selon les résidents de la cité, compte réaliser un immeuble au profit d'autres demandeurs de logement. Ce phénomène d'accaparement des aires d'intérêt public est légion.Des cas similaires sont constatés chaque jour que Dieu fait un peu partout à travers la wilaya d'Alger, à l'image d'un propriétaire d'une villa à Delly Ibrahim qui a, tout récemment, étendu l'extension de sa demeure au-delà de la délimitation de son lot ou l'exemple encore de l'infraction commise à la rue Mohamed Fadhel sise à Bab El Oued, sur une aire de jeu par un autre « squatter » qui a érigé une bâtisse, en dépit des réclamations adressées aux autorités locales.