Le Hamas palestinien cherche du soutien à Blida C'est sous le slogan « Soutenons la cause palestinienne » que l'hommage coïncidant avec le quatorzième anniversaire de l'assassinat de Mohamed Bouslimani, et organisé par la Fondation portant son nom, a eu lieu le week-end dernier à Blida. L'occasion était propice pour dénoncer les derniers attentats terroristes qui avaient secoué plusieurs villes algériennes avant de passer aux tristes événements qui ne cessent de caractériser la Palestine en général et la bande de Ghaza en particulier. Un représentant du Hamas du nom d'Abou Ahmed, présent lors de l'hommage, n'a pas cessé de déclarer et sous les cris d'« Allah Akbar », que son parti « ne reconnaîtra jamais l'Etat israélien et cela est une affaire de principe et surtout de foi. » Il a « récupéré » le serment de tous les présents relatif au soutien de la cause palestinienne et la reconnaissance du parti du Hamas comme étant le plus légitime et le plus représentatif du pouvoir palestinien. La dérobade des services de la poste à Boumerdès Les citoyens qui ont tenté des retraits par le moyen du distributeur automatique de billets (DAB) de la recette principale d'Algérie Poste de Boumerdès, jeudi dernier, ont été doublement frustrés. D'une part, les utilisateurs des cartes magnétiques ont été déçus par la défaillance de l'appareil qui, à la fin des opérations, ne « crache » pas les billets demandés et, d'autre part, ils ne trouveront aucune explication au niveau du bureau de poste. Les préposés aux guichets les orientent vers le caissier qui étonne par sa réponse : « le distributeur ne nous appartient pas ; nous ne faisons que l'alimenter en billets », dira-t-il aux usagers avant de les orienter, à son tour, vers le receveur qui n'était même pas là. Si une défaillance technique est à la limite admissible, la dérobade des services de la Poste est, elle, inacceptable. La « prostituée » qui a tout fait basculer Intervenant lors du Colloque consacré à l'historien Mohamed Harbi à Oran, Gilbert Meynier de l'Université de Lyon a sans doute voulu épater l'assistance, en décidant de lire sa communication en arabe et c'était, dit-il, par respect pour le peuple algérien même s'il se trompe sûrement au sujet de ce dernier, en disant qu'il parle arabe depuis 14 siècles (l'arabisation étant un long processus et qui s'est d'ailleurs poursuivi même après l'indépendance ). Tant bien que mal, en rectifiant à chaque fois sa tendance à prononcer le son « z » à la place du son « dj », une habitude acquise en Egypte, il a discouru en arabe pendant un bon moment avant que l'assistance ne l'arrête au sujet d'un terme utilisé et que peu de gens connaissent : « El moumès » (il parlait de femmes musulmanes qu'on traitait comme telles pour le fait qu'elles ne portaient pas le hidjab) . Il dut répéter le mot plusieurs fois, rien n'y fait. Il a alors lancé en français « prostituée ». Là, tout le monde a compris mais cela a changé le cours de l'histoire, puisque la suite de son intervention a été entièrement dite ou presque en français. Quatre écoliers blessés suite au dérapage d'un bus Quatre écoliers ont été blessés dans un accident de la circulation survenu mardi dernier à Sidi Ali Boussidi (ex-Parmentier), à 40 km au sud de la ville de Sidi Bel Abbès, a-t-on appris de source hospitalière. L'accident, qui s'est produit sur la route reliant Sidi Ali Boussidi à la localité de Sidi Dahou, aurait pour origine le dérapage d'un bus de transport en commun. Le véhicule aurait fait une embardée sur 50 mètres à la sortie d'un léger virage. Après plusieurs tonneaux, il s'est immobilisé au milieu de la chaussée selon cette même source, qui indique qu'un seul blessé est toujours gardé sous surveillance médicale et que les autres victimes ont quitté l'hôpital de Sidi Bel Abbès en début d'après-midi. 6e édition du Concours de la meilleure œuvre poétique Un concours de la meilleure œuvre poétique, édition 2008, est ouvert depuis jeudi jusqu'au 31 mars. Le concours est ouvert à toutes les franges de la société et dans toutes les langues en usage en Algérie, soit l'arabe classique et dialectal, l'amazigh et le français. Il est ainsi demandé aux postulants d'envoyer trois œuvres inédites en 5 exemplaires chacune, avant le 31 mars, accompagnées d'une fiche de renseignements. Les poèmes des candidats seront soumis à un jury composé d'hommes de Lettres et de poètes et trois grands prix pour chaque langue seront décernés.