Chlef, selon les syndicats, le taux de suivi a enregistré les 70%. Le Snapap fait état d'une large adhésion des travailleurs, estimée à 74%. La direction de la santé indique que seuls 13 travailleurs du secteur ont fait grève. A. Y. Relizane, selon le Cnapest, le débrayage a été suivi dans 29 lycées sur les 35, soit un taux de suivi de 82,85%. L'Unpef a annoncé que la grève a été fortement suivie par, notamment, les corps communs et les enseignants. Un pourcentage d'adhésion de plus de 78% a été ainsi avancé. Hormis ce secteur, le reste a été insensible à l'appel à la grève. I. B. Mécheria, la grève a été suivie à 100% par tous les spécialistes affiliés au SNPSSP. Les professeurs des lycées relevant du Cnapest ont aussi répondu au mouvement de grève. D. S. Adrar, selon le Snapest, la grève des enseignants a été largement suivie dans plusieurs lycées où le débrayage a atteint 100%. Pour les autres établissements secondaires, leur participation serait de 70% à 90%. A. A. Sidi Bel Abbès, si dans certains établissements scolaires la mobilisation était au rendez-vous, ce n'est pas le cas au sein de l'administration et des structures de santé. L'appel à la grève a été partiellement suivi. Le Cnapest avance un taux de suivi de 55% dans les CEM. M. A. Aïn Témouchent, le Cnapest affiche 77,60% de taux de participation de grève. Cela représente la totalité des 18 lycées de la wilaya, soit 528 professeurs. Dans les autres secteurs de la Fonction publique, c'est le calme. M. K. Tiaret, seuls 15% des enseignants du secondaire ont fait grève au moment où leurs pairs du moyen et du primaire suivent avec 3,02% et 2,34%. Des chiffres émanant de l'administration et qui sont contredits par l'Unpef qui parle d'un taux de 30% dans le secteur paramédical et à l'université. A. K. El Bayadh, la grève a été suivie, dans une large proportion, par les enseignants affiliés à l'Unpef qui reste l'unique fédération autonome représentée localement. Les responsables du mouvement revendiquent une participation au débrayage de 52,13% à travers les lycées, un peu plus que les paliers inférieurs qui fonctionnent avec de légères perturbations. M. S. Tlemcen, l'arrêt de travail des fonctionnaires n'a pas démarré sur les chapeaux de roue, comme cela a été enclenché lors des deux précédentes grèves. Les lycées et le secteur de la santé, dans sa majorité, ont répondu favorablement à l'appel des syndicats sans toutefois paralyser les activités. Au lycée Ibn Tofaïl par exemple, les enseignants n'avaient pas assuré les cours. Même attitude chez les paramédicaux qui n'ont pas occupé leurs postes de travail. C. B. Ghazaouet, les enseignants du secondaire ont fait grève, enregistrant ainsi un taux de participation de plus de 74%. Dans les autres secteurs, la grève a été faiblement suivie. O. E. B. Mascara, seuls les fonctionnaires des secteurs de l'éducation et de la santé ont débrayé. Le Cnapest fait état d'un taux de participation de 71,87%. Dans le secteur de la santé, « sur 985 fonctionnaires, seuls 57 ont débrayé, soit un taux de participation de 1,43% », selon l'administration. Le Snpssp a annoncé, quant à lui, la participation de la majorité écrasante des praticiens spécialistes. A. S. Tindouf, les fonctionnaires ne sont même pas au courant du mouvement de grève générale auquel ont appelé à nouveau les syndicats autonomes de la Fonction publique. Mis à part l'Unpef, aucun des autres syndicats n'est représenté. M. M.