Transport à Birtouta : Des dispositions à renforcer La localité de Birtouta, qui a la particularité d'avoir une multitude d'agglomérations secondaires qui dépendent du chef-lieu de la commune, souffre paradoxalement du manque de transport et de liaison entre elles et le centre-ville. Si aux abords de la ville, une station de transport urbain assure tant bien que mal la liaison entre la localité est les deux grandes villes, à savoir Blida et Alger, la jonction cependant entre ladite station et le centre-ville n'est pas assurée. « Nous avons demandé aux responsables chargés de la gestion du transport au niveau de la wilaya la création de nouvelles lignes qui vont assurer, d'une part la jonction entre la station urbaine et le centre-ville, et d'autre part, la liaison entre les agglomérations secondaires et le chef-lieu de la commune, il s'agit des localités de Ouled Ch'bel, Chebli et Khraïssia », soutient le P/APC. Et d'ajouter : « Nous avons demandé des mêmes responsables la possibilité de mettre en fonction une navette permanente de l'Etusa qui va assurer la liaison entre Tafoura et Birtouta, à l'instar des autres localités de l'Algérois. » Quant au ramassage scolaire, qui reste très insuffisant, le P/APC dira : « Il est prévu dans le cadre des nouvelles dispositions prises par la municipalité devant renforcer le transport des écoliers, l'achat pour un montant d'un milliard de centimes d'autobus. » Sidi Hassan (Chéraga) : Les moniteurs des auto-écoles en colère Les conditions de travail aux auto-écoles, ayant comme circuit d'apprentissage de conduite l'ancien Souk El Fellah de Chéraga (Sidi Hassan), sont déplorables. D'emblée, on remarque l'absence de plaque d'interdiction de circulation aux particuliers dans le cercle. Une fois le barrage de la Gendarmerie nationale levé, les véhicules envahissent le terrain de l'auto-école. Une situation qui engendre des problèmes parfois non maîtrisables. « A cause de l'absence de cette plaque, on a enregistré plusieurs anomalies, voire des accidents graves », avoue le responsable d'une auto-école. M. Abd El Kader, moniteur de l'auto-école Massinissa, ajoute : « Dans ce circuit, il y a trop de dos d'âne, ce qui gêne le travail des moniteurs et ingénieurs. Il est nécessaire de revêtir le terrain.... » M. Hadj, un autre moniteur, parle d'insuffisance d'infrastructures : « On a de bons moniteurs, mais on souffre de manque d'infrastructures. Il y a aussi un manque de moyens et la non-intégration de l'informatique au niveau des auto-écoles. » A la sortie du cercle, aux Quatre-Chemins, M. Hadj attire notre attention : « Le feux rouge droit, sur la route menant à Ouled Fayet, ne fonctionne plus. Est-ce normal ? »