A la cité 1000 Logements de Tizi Bouchène, les routes sont défoncées, les trottoirs inexistants, les décharges d'ordures pestilentielles, les eaux usées coulent à ciel ouvert et des fuites d'eau potable, dont certaines datent de l'année 2000, ne sont pas réparées. Le comité de la cité et l'association culturelle Thileli n'ont pas de retour d'écoute après les réclamations. Ni l'entreprise ADE, auquel échoit l'obligation de réparer les fuites, ni les autorités locales n'ont pu mettre fin à leur calvaire. Les résidents de la cité de Tizi Bouchène tiennent leur mal en patience en attendant que les autorités se décident réellement à prendre en charge leurs ennuis quotidiens.