Le bureau de wilaya de l'association pour la défense et la protection des malades mentaux tire la sonnette d'alarme afin de prendre en charge ces patients abandonnés à leur triste sort. Selon le président de l'association, M. Hakoum, « la situation est préocupante. A l'hôpital Ahmed Medeghri, l'asociation réclame un médecin spécialisé pour la prise en charge de ces malades et non pas un généraliste. De plus, nous nous opposons à la décision du directeur de la Santé d'utiliser le centre intermédiaire de santé mentale, situé à El Nasr, pour un usage administratif. »