Les rues Delfi Brahim, Boughalem (ex-rue de Tébessa) et 5 Juillet, ainsi qu'une partie de la rue Benbadis sont squattées par une faune de vendeurs. Partout, sur les trottoirs et une partie de la chaussée, des étals de fortune sont érigés pour recevoir vêtements, parfums, bibelots, chaussures, sacs et autres articles, tous provenant de pays asiatiques et, principalement, de Chine. Des toiles protègent les étals des rayons du soleil et de la pluie. Par la force des choses, ces rues sont devenues piétonnes, au grand dam des automobilistes. A quand l'ouverture de grands marchés pour résorber cette faune d'habilleurs ?