Les séries de scandales continuent à poursuivre l'opérateur de téléphonie mobile Orascom Télécom Algérie qui s'est accaparé plus de 60% du marché algérien, faisant fi des règles de l'investissement en Algérie. Des lois qui obligent les investisseurs étrangers à ne pas accéder le taux de 45%. OTA mène des opérations commerciales douteuses à l'intérieur comme à l'extérieur du pays, et est poursuivi en justice par plusieurs parties dont la banque d'Algérie. En plus de son utilisation des fonds en partenariat avec une société juive afin de maintenir « Djezzy » en tête du marché des télécommunications en Algérie. Pour ce qui est de sa coopération douteuse à l'extérieur, des sources bien informées ont indiqué à Ennahar que l'opérateur « Orascom Télécom Algérie » propriété de l'égyptien Saouris serait lié par à une société juive, selon un rapport de l'entreprise mère en Egypte. Ce dernier aurait acheté en décembre 2005 des actions d'une valeur estimées à l'équivalent de 14% de la société de télécommunication israélienne et ce, à partir des fonds de Djezzy en Algérie. Djezzy dont la licence n'est que de 700 millions de dollars, aurait transféré au bout de trois années seulement d'existence en Algérie l'équivalent de Un milliard 100 millions centimes selon le numéro de transfert officiel présenté par cet opérateur. Le montant exact transféré de manière illégale continue toujours. La banque d'Algérie a intenté une action en justice dans ce sens après qu'il se soit avéré que cet opérateur ait transféré des fonds algériens pour son projet avec la société juive pendant que l'état algérien interdit toute coopération avec l'état hébreu. Djezzy a immédiatement vendu ses actions dans la société juive après deux années faisant des gains importants qu'il a ensuite utilisés en Algérie d'une façon illégale et sans se soumettre aux règles de la concurrence, doublant ainsi ses gains. Des enquêtes ont été ouvertes menées par des commissions fiscales et d'autres par les services des impôts, se qui l'a mené à recourir à une agence libanaise de publicité ainsi que quelques titres de la presse et media afin d'exercer des pressions sur les autorités supérieurs de l'état. Avant de s'installer en Algérie, Djezzy faisait partie de la société « Oratel », sise aux îles vierges dépendant du Royaume Uni, et connu dans les milieux financiers comme une base de blanchiment d'argent. Les dépassements de cet opérateur ne s'arrêtent pas là, celui-ci a défié à maintes reprises l'état algérien et ses décisions, ainsi que l'ARTP qu'il n'avait même pas consulté une seul fois pendant la période de sont existence en Algérie. Malgré les mises en garde du conseil de l'état, notamment à travers la décision n° 6-14-11-8 relatif à la tarification sur les communications ainsi que la puce « Allo OTA » qui a été retirée récemment et qui fixait le prix de 2,99 pour 30 secondes et qui a causé de grandes pertes aux autres concurrents sur le marché algérien. Hassa Kebbani a été démis de son poste de premier responsable d'Orascom Télécom Algérie d'une manière soudaine et douteuse. Selon des dires, cette décision prise par Saouris pour éviter au responsable de Djezzy en Algérie des poursuites judiciaires et des problèmes avec les autorités algériennes, après ce qui se disait dans les coulisses sur les importantes sommes d'argent transférées vers l'étranger par des responsables de Djezzy. Selon des sources proches de l'opérateur de téléphonie mobile en Algérie « Mobilis », ce dernier a tenu au courrant de cette semaine une réunion urgente avec son concurrent Djezzy afin de trouver un formule adéquate pour freiner le nouveau service « Free » proposé par Nedjma, et qui connaît un engouement auprès des client. Considéré comme une alliance stratégique pour contrer le programme de « Nedjma », cette dernière réclame un équilibre du marché à son profit et à celui de Mobilis. Mobilis qui semble-t-il, applique le dicton qui dit « Un ancien ennemi est mieux qu'un nouvel ami »