Le candidat Benflis aurait tenté de conclure un accord secret avec les dirigeants de l'ex-FIS dissous ? C'est ce que pensent certains milieux politiques depuis que le mouvement El Islah a rompu son pacte avec l'Alliance verte, d'ailleurs, Djahid Younsi a affirmé la semaine passée que son parti a négocié un partenariat avec le candidat Benflis. Djahid Younsi a même déclaré récemment que si Benflis était élu président, « une liberté sera consacré en Algérie et profitera à tout le monde y compris les formations politiques dissoutes (Fis), qui seront réhabilitées et recouvreront leur droit de réinvestir le champ politique ». Mais il semble que les dirigeants du Fis (Abassi Madani et Ali Benhadj) aient refusé ce compromis. Pour un dirigeant de l'ex-fis, Benflis veut cueillir les fruits de la réconciliation nationale, qui a permit à des milliers de personnes de rentrer chez eux et réintégrer la société algérienne. Ce dirigeant, qui a préféré garder l'anonymat, a révélé que le numéro un du Fis dissous, Abbasi Madani, aurait refusé tout compromis avec Benflis, faisant référence à la rencontre entre Ali djeddi et Kamel Guemazi avec le candidat Ali Benflis pour soutenir ce dernier au nom du Fis. Ennaharonline