L'ambassadeur de France en Algérie, Bernard Emié, avait rédigé un rapport à sa tutelle (Quai d'Orsay) dans lequel il suggérait qu'il est « préférable de ne pas associer le ministre » à leurs activités, l'accusant d'exercer des pressions sur deux journaux, à savoir El Watan et El Khabar. A cet effet et dans une réponse au quotidien électronique « TSA » lors de sa visite à Oran, le ministre de la Communication affirme que l'Algérie a « d'excellentes relations avec la France ». Cependant, M. Grine a souligné : « Nous avons des principes éthiques et déontologiques qui nous imposent de lutter contre toute forme de diffamation, d'injures et d'insultes d'où qu'elles viennent ». Pour conclure et toujours selon le même quotidien, Hamid Grine rassure : « Nous continuerons notre projet de professionnalisation de la presse, comme l'a demandé le président de la République, jusqu'à son aboutissement ».