La télévision israélienne rapportait il y a plus de deux mois, plus exactement le 22 octobre 2010, que le président égyptien Hosni Moubarak pensait désigner Omar Souleimane, chef du renseignement égyptien comme vice-président. Il y a environ trois mois, les égyptiens étaient surpris de voir toutes les rues envahies de posters proclamant Omar Souleimane président de la république. Les autorités ont immédiatement réagit et la police procède alors à une campagne d'arrestations dans les rangs des jeunes militants du parti national qui auraient été manipulé, surtout que le nombre des posters était impressionnant. En parallèle, des sites électroniques lançaient des slogans comme « Ni Djamel ni les frères, nous voulons Omar Souleimane ». Cette campagne de soutien à Omar Souleimane avait pour objectif de barrer la route à la succession du fils de Hosni Moubarak. Au matin du premier septembre 2009, le chef des renseignements égyptiens et le ministre des affaires étrangères, Ahmed Aboulgheit étaient à bord d'un avion égyptien en direction de l'Erythrée pour mener des négociations avec les responsables érythréens à propos du conflit sur les eaux du Nil. Quelques minutes après le décollage de l'avion, le commandant de bord annonce la découverte d'une panne nécessitant un atterrissage forcé. Arrivé dans un aéroport au sud de l'Egypte, l'avion a été contrôlé par des experts de l'aviation sous l'œil des hommes de Omar Souleimane. Il s'est avéré que la panne a été provoquée par des inconnus dans le but de faire exploser l'avion en plein vol. ils se rendirent compte que la panne technique n'était qu'un sabotage et une enquête furent alors déclenchée avec les responsables de la compagnie Smart, du ministère de l'aviation civile. Les autorités égyptiennes ont étouffés l'affaire et le porte parole des affaires étrangères annonça à la presse que ce n'était qu'un simple panne technique. L'opposition égyptienne, soutenue par les renseignements égyptiens pointe du doigt ce qu'ils appelaient le lobby Moubarak, l'accusant d'être derrière la tentative d'assassinat et la liquidation de Omar Souleimane. Le plus étonnant est que celle-ci possédait tous les détails sur l'incident malgré le black out des autorités sur l'affaire. L'opposition a aussi révélé d'autres tentatives d'assassinat auquel Omar Souleimane a échappé, dont une tentative d'empoisonnement où plusieurs hommes de sa garde rapprochée sont morts.