Dans le Coran, Dieu parle des différents stades du développement embryonnaire humain : Nous avons certes créé l'homme d'un extrait d'argile, puis nous en fîmes une goutte de sperme dans un reposoir solide. Ensuite, nous avons fait du sperme une alaqah (sangsue, chose suspendue, caillot de sang), et de la alaqah nous avons créé une moudghah (substance mâchée)... Littéralement, le mot arabe “alaq” a trois sens: (1) une sangsue, (2) une chose suspendue, et (3) un caillot de sang. Si nous comparons une sangsue à un embryon à l'étape d'el alaq, nous découvrons des similarités entre les deux. De plus, l'embryon qui est à cette étape de son développement se nourrit du sang de la mère, comme la sangsue se nourrit du sang de ceux sur qui elle se fixe. Le deuxième sens du mot alaq est "une chose suspendue". L'embryon en suspension dans l'utérus de la mère, au stade d'el alaq. Le troisième sens du mot “alaq” est "caillot de sang". L'apparence externe de l'embryon et de ses sacs au stade d'el “alaq” est très similaire à celle d'un caillot de sang. Cela est dû à la présence de quantités de sang relativement élevées dans l'embryon au cours de ce stade. Aussi, durant ce stade, le sang contenu dans l'embryon ne commence pas à circuler avant la fin de la troisième semaine. Donc, l'embryon, à ce stade, est comme un caillot de sang. Ainsi, les trois sens du mot “alaq” correspondent exactement aux descriptions de l'embryon au stade d'el “alaq”. Le stade suivant, mentionné dans le verset, est le stade de la “moudghah”. Le mot arabe moudghah signifie "substance mâchée". Si quelqu'un mâchait un morceau de gomme à mâcher et le comparait à un embryon au stade de la “moudghah”, il verrait que l'embryon, à ce stade, prend l'apparence d'une substance mâchée. Cette ressemblance est dùe aux somites sur le dos de l'embryon qui ressemblent, en quelque sorte, à des traces de dents dans une substance mâchée. Lorsque nous comparons l'apparence d'un embryon au stade de la “moudghah” avec celle d'un morceau de gomme qu'on a mâché, nous voyons des similarités entre les deux. Comment Mohamed le prophète (QSSSL) aurait-il pu savoir tout cela il y a 1400 ans, alors que les scientifiques ne l'ont découvert que récemment en utilisant des équipements de pointe et de puissants microscopes qui n'existaient pas à cette époque-là? Hamm et Leeuwenhoek furent les premiers scientifiques à observer des cellules de sperme humain à l'aide d'un microscope perfectionné en 1677 (c'est-à-dire plus de 1000 ans après la venue de Mohamed). Ils crurent erronément que la cellule de sperme contenait un être humain miniature préformé qui grandissait à partir du moment où il était déposé dans l'appareil génital de la femelle. En 1981, au cours de la Septième Conférence médicale à Dammam, en Arabie Saoudite, le professeur Moore affirma: "Ce fut pour moi un grand plaisir que d'aider à clarifier les passages du Coran qui parlent du développement humain. Il ne fait aucun doute, à mon esprit, que ces passages ont été révélés à Mohamed par Dieu, parce que la presque totalité de ces connaissances n'ont été découvertes que plusieurs siècles plus tard. Pour moi, cela constitue une preuve que Mohamed était un messager de Dieu." On posa donc au professeur Moore la question suivante : "Cela signifie-t-il que vous croyez que le Coran est la parole de Dieu?". Il répondit : "Je n'ai aucun problème à l'accepter".