Connaissez-vous quelques notions du théâtre algérien ? Malheureusement non. Toutefois, cette rencontre nous permet de savoir ce qui se fait ailleurs. Le FITA permet de nous rencontrer et de tisser des liens pour le bien de la culture. Esquissez-nous en quelques lignes le théâtre Nô ? Le Nô fait partie des scènes vivantes transmises de génération à génération, maître à disciple, parent à enfant, enfant à petit enfant, en un fil jamais rompu depuis plus de 650 ans. Ce genre de théâtre est considéré au Japon comme un patrimoine culturel immatériel. Mieux encore, un trésor oral et immatériel du patrimoine de l'humanité classé par l'UNESCO. Qu'attendez-vous de ce Festival ? La plus grande distinction que l'on peut obtenir est sans aucun doute la réaction du public à la fin de la représentation notamment ces incessantes acclamations. Un régal. Un bonheur. En clair, le public représente la seule distinction. Le fait de participer au FITA représente pour nous une expérience très riche. Une occasion de rencontres, de dialogue et d'échanges pour favoriser la connaissance.