Usant de notre droit de réponse à l'article de presse paru dans votre livraison du 22/03/2011 intitulé : «45 % créances de l'ADE détenues par les collectivités locales», nous tenons à porter ces éléments d'informations et éclaircissements suivants : Contrairement à ce qui a été rapporté par le rédacteur de l'article, nous n'avons aucunement fait part, explicitement et même implicitement, à une quelconque histoire de corruption dans la gestion du programme du plan d'aménagement urbain de la ville de Tizi Ouzou. le rédacteur du papier a rapporté des propos totalement faux, en évoquant, de soi-disant, «réserves» émises par nos soins quant à la régularisation des entreprises et de la qualité des travaux effectués, que ce soit, par rapport à des malfaçons constatées tant dans la réalisation ou dans le matériau utilisé. Ce qui est du ressort exclusif du maître de l'ouvrage.