Trois ex-responsables du secteur de télécommunications ont été placés lundi soir à Annaba, sous contrôle judiciaire par le magistrat instructeur de la 2e chambre près le tribunal correctionnel de Annaba pour une affaire de trafic de puces, a-t-on appris hier de source judiciaire. Sept autres personnes dont quatre femmes et trois agents de l'état civil de l'assemblée populaire communale (APC) de Annaba ont été également mis sous contrôle judiciaire dans le cadre de cette affaire, a ajouté la même source. «Tous ces mis en cause sont présumés accusés de trafic de 103 puces téléphoniques de l'opérateur Algérie Telecom Mobilis (ATM)», a-t-on précisé de même source.