A qui (surtout dans le sens pluriel) profite le statu quo qui sévit à la « tête » du Doyen, 88 ans, qui n'en finit pas de supporter des fardeaux qu'on lui charge chaque saison. Jouant le maintien, une place d'honneur ou carrément le titre, le MCA reste le club des turbulences « vraies ou fictives ». Un club à deux têtes (Amrous et Zedek) alors que Amrous a été élu des mois avant qu'une opposition se proclame « gérante » suite à une AG extraordinaire mal gérée par la DJS et la DRAG. Depuis, la guerre par presse interposée s'accentue. Pis, au moment où tout le monde était « suspendu » à cette très attendue décision de justice, le verdict est rocambolesque, satisfait et dérange en même temps le clan Amrous et le clan Zedek. Les deux parties ont « raison » et ont trois mois pour faire valoir leurs droits, c'est-à-dire présenter le dossier le plus costaud pour le verdict final, même si une lecture « pointue » de la décision du tribunal de Chéraga déboute le camp Zedek. Une lecture juridique des avocats du camp Amrous devant la presse vendredi passé. Mais pourquoi accorder, dès lors, trois mois à Zedek pour peaufiner un autre dossier. L'affaire Amrous-Zedek peut donc rebondir. C'est là, en gros, la lecture des deux parties de la décision du tribunal de Chéraga.