Je commencerai mon récit en invoquant le nom de Dieu, je vous le raconte avec plaisir. Un jour, le prophète parcourait les villages ; il trouva une «Thajemâth» pleine de gens ; chacun commença par se retirer. Un homme seul resta, il était bon et lui souhaita la bienvenue. Il courut vers sa femme pour voir si elle avait quelque chose en réserve. Il regarda la marmite qui était sur le feu : « O mon cher, lui dit sa femme, va doucement ; sinon, tu te brûleras.» «Contient-elle quelque chose ?» Elle était pleine de viande. Il courut à son troupeau : c'est sa propre main qui fera le choix ; il choisit un mouton du sud ; il le tua avec un couteau bien effilé et laissa le couteau sur place. Ses enfants s'exerçaient à la lutte. L'un d'eux dit à son frère : «Tombe à terre, ô mon frère, je te tuerai comme notre père a tué le mouton.» II tua son frère ; alors il se mit à crier ; en fuyant, il tomba dans le puits qui n'était pas entièrement plein d'eau, sa chevelure surnageait encore. Le père rentra à sa maison et trouva ses enfants expirants. Il alla vers sa femme et lui dit : «Le prophète a-t-il pris son repas ? Plus tard nous pleurerons notre malheur. Le prophète s'approcha pour manger, mais il voulut que les enfants fussent présents. Son hôte lui dit : «O prophète, prends ton repas, les enfants dorment.» Le prophète prit à témoin le Dieu très parfait qu'il ne mangerait pas à moins que les enfants ne fussent présents. Son hôte lui dit : «O prophète, prends ton repas, les enfants dorment, ils ont déjeuné ce matin.» Le prophète prit à témoin le Dieu très parfait qu'il ne mangerait pas, à moins que les enfants ne fussent présents. Son hôte sortit dehors, il trouva ses enfants qui luttaient, et le prophète prit son repas.