Football: Djamel Menad, une autre légende du football algérien s'en va    Oran: clôture de la 17ème édition des Dourouss Mohammadia de la zaouïa Belkaïdia Hebria    Affaire RS Berkane-USM Alger : la CAF interdit les maillots à caractère politique et applique la décision du TAS    Agence nationale des déchets: des enfants de la lune sensibilisés à la protection de l'environnement    Ghaza: le bilan de l'agression sioniste s'alourdit à 49.747 martyrs et 113.213 blessés    Deux terroristes de nationalité étrangère abattus à In Guezzam    Les Algériens ne renonceront jamais à soutenir la cause palestinienne    Rebiga reçu à Windhoek par la présidente de la Namibie Mme Netumbo Nandi-Ndaitwah    Belle victoire des Verts à l'extérieur !    Ligue 1 Mobilis : Le CRB écope d'un match à huis clos, un match de suspension pour Ramovic    Le championnat national du 10 au 12 avril    Conseil de sécurité : l'Algérie insiste sur la nécessité du retour au cessez-le-feu à Ghaza et de la mise en œuvre de toutes les étapes de l'accord    Le CNDH salue les progrès réalisés pour renforcer la sécurité hydrique nationale    Agrément à la nomination du nouvel ambassadeur d'Algérie en Angola    L'écosystème de la finance islamique en Algérie promis à davantage d'évolution avec le lancement des sukuk    Foot / Qualifs-Mondial 2026: importante victoire de l'Algérie au Botswana (3-1)    Barrage vert: le projet de réhabilitation avance à grands pas    Laghouat: exportation de la première cargaison de câbles électriques vers le Togo    Ouverture de la 14e édition du Festival culturel national de la chanson chaâbie à Alger    3,5 tonnes de kif saisies par L'ANP    M. Merad préside le lancement officiel de la plateforme numérique "Formulaires services de police"    El-Oued : le Chahid du devoir national le pilote Lieutenant-Colonel Bekkouche Nasr inhumé au cimetière de Sidi-Youcef    Cible principale, l'Algérie et les Algériens    Appel à la vigilance des agriculteurs    Près de 100.000 personnes ont dû fuir des violences armées    Près de 11 000 tonnes de produits impropres à la consommation saisies à l'Ouest    Plus de 800 g de kif traité saisis, une arrestation    Plus de 100 g de kif traité, 401 comprimés de psychotropes saisis, trois arrestations    A l'horreur s'ajoute l'asphyxie humanitaire    Nadir Larbaoui préside une réunion du Gouvernement    « L'Algérie est un modèle à suivre en matière de lutte contre le terrorisme »    L'autre lutte pour le recouvrement de l'indépendance    Guelma accueille la 9e édition    Dans l'imaginaire littéraire et artistique algérien    «Loyauté envers les martyrs»    Manifestations à Washington et New York pour exiger la libération d'un étudiant miilitant palestinien        L'Algérie happée par le maelström malien    Un jour ou l'autre.    En Algérie, la Cour constitutionnelle double, sans convaincre, le nombre de votants à la présidentielle    Algérie : l'inquiétant fossé entre le régime et la population    Tunisie. Une élection sans opposition pour Kaïs Saïed    BOUSBAA بوصبع : VICTIME OU COUPABLE ?    Des casernes au parlement : Naviguer les difficiles chemins de la gouvernance civile en Algérie    Les larmes de Imane    Algérie assoiffée : Une nation riche en pétrole, perdue dans le désert de ses priorités    Prise de Position : Solidarité avec l'entraîneur Belmadi malgré l'échec    Suite à la rumeur faisant état de 5 décès pour manque d'oxygène: L'EHU dément et installe une cellule de crise    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



Festival panafricain
Une organisation en partie défaillante
Publié dans Info Soir le 23 - 07 - 2009

Constat n Des lacunes et des défaillances ont entaché, en partie, l'organisation du Panaf, à telle enseigne que nombre d'activités sont passées inaperçues.
Si l'on parle de l'organisation du festival, il s'avère que le comité d'organisation du Panaf a failli, en partie, à son devoir, à savoir celui de communiquer et d'informer.
Il y a eu effectivement, lors du festival, un déficit au niveau de la communication, notamment en direction des médias. Le programme contenant l'horaire et le lieu des activités, n'a été divulgué aux journalistes que tardivement, bien après le coup d'envoi officiel du Panaf.
Rares sont les fois où des fax parvenaient aux rédactions pour informer les journalistes de la tenue de telle rencontre dans tel lieu et à tel horaire.
Certains rendez-vous, comme le colloque sur le cinéma ou sur les entreprises coloniales, respectivement prévus à l'hôtel Hilton et à la Bibliothèque nationale, ont été déprogrammés ailleurs, à la dernière minute, sans informer à temps la presse.
Un programme détaillé et précis des différentes activités et manifestations devant avoir lieu pendant le festival n'a pas été tiré et distribué à l'ensemble des organes des médias. L'information ne filtrait et ne circulait qu'au compte-goûtes, au jour le jour, parfois bien tardivement. Cela rendait le travail du journaliste – censé assurer une couverture médiatique fiable – laconique, fragmenté, par moments hâtif. En outre, le plein de rencontres, telles que les expositions ou les colloques, a fait que certaines programmations ont perdu de leur importance. Ce que le public a retenu de ce festival, ce sont bien les soirées musicales organisées dans les lieux publics. S'agissant des colloques ou des expositions, cela été l'affaire des initiés ou des avertis. Les espaces d'exposition restaient vides ou presque. Cela témoignait, d'une part, de l'absence de communication, et, d'autre part, de l'absence d'intérêt du public pour ce genre de manifestations. Il y a également un autre facteur qui fait que les salles d'exposition soient désertées, c'est celui de la distance.
En effet, la plupart des grandes et importantes expositions, comme celles de l'art contemporain africain ou les chefs-d'œuvre du patrimoine immatériel de l'Afrique, ont eu lieu au Palais des expositions Pins Maritimes (la Safex). Ce qui a découragé le public vu l'éloignement.
Le choix de la Safex s'explique par le manque d'infrastructures culturelles à même d'accueillir les manifestations au cœur même de la cité. Force est alors de constater avec regret que l'Algérie, en abritant un Festival culturel panafricain d'une envergure continentale – et même d'un intérêt international – manque cruellement de capacités structurelles en mesure de satisfaire la demande et l'exigence culturelle.


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.