Evoquant l'affaire des prisonniers algériens détenus en Libye, M. Belaïz a exprimé la «reconnaissance de l'Algérie quant à la position du guide de la révolution libyenne» qui a promulgué une grâce présidentielle au profit de plus de 30 détenus algériens en 2008, de 28 détenus pendant le premier semestre de l'année 2009 et récemment de 33 autres détenus. L'initiative du colonel Maammar El-Gueddafi est «noble et traduit les bonnes relations qui lient l'Algérie à la Libye», a précisé le ministre ajoutant que «la grâce n'est pas un droit, d'autant que les détenus concernés ont été condamnés à la peine capitale ou à la perpétuité pour des crimes très lourds dont le trafic de stupéfiants».