Résumé de la 146e partie n Dans la cour, les conversations vont bon train quand, brusquement, un bloc de pierre, venu d'on ne sait où, atterrit entre deux malades. Hola! — Qu'est-ce que c'est ? — Quelqu'un vient de lancer cette pierre ! Le malade n'a pas fini de parler qu'une autre pierre et un moellon atterrissent à proximité de la première pierre. — ça vient de l'extérieur ! — On nous bombarde ! D'autres malades crient. — On va nous blesser ! — Au secours ! Le personnel présent dans la cour ne sachant que faire : les pierres tombent de partout : c'est un véritable bombardement ! — ça vient de dehors ! On ouvre les portes, on se précipite à l'extérieur : il n'y a personne ! Le bombardement cesse. C'est alors que le directeur, le docteur Cuénot, arrive. Il s'inquiète de l'état des malades. — Personne n'a été blessé ? — Grâce à Dieu, non ! — Mais qui a jeté les pierres ? — On ne sait pas ! On pense à un agresseur, posté dans la rue. Le directeur demande au personnel d'être vigilant et de lui signaler tout nouvel incident. Le calme est revenu dans la clinique. Le personnel vaque de nouveau à ses occupations, et les malades changent de sujet de conversation : on ne parle plus de la fermeture de la clinique mais de ce jet de pierres. — Le premier bloc est tombé devant moi ! — Et moi, j'ai failli recevoir le second ! — J'ai été frôlé… — C'est un miracle que personne n'ait été blessé… — Ou même aurait été tué ! On s'interroge sur les suites à donner à cette affaire. — La direction devrait porter plainte ! — Le docteur Cuénot sait ce qu'il doit faire. C'est alors qu'on entend un sifflement et on voit une pierre atterrir dans la cour. Elle a failli tomber sur un malade. — ça reprend ! D'autres pierres pleuvent. — Au secours ! — On veut nous tuer ! (à suivre...)