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Suspense
Les travaux d'Hercule (2e partie)
Publié dans Info Soir le 17 - 10 - 2011

Résumé de la 1re partie - Poirot est surpris de voir Sir Joseph Hoggin lui demander de retrouver un pékinois volé...
Vous êtes le plus qualifié pour ce genre de travail, je le sais. Je me suis renseigné. Je veux connaître le fin mot de cette histoire et je ne regarde pas à la dépense. C'est pour cela que je vous ai demandé de venir.
— Vous avez beaucoup de chance.
— Hein ?
— Beaucoup de chance, reprit Hercule Poirot. Je suis, et je peux le dire en toute modestie, au sommet de ma carrière. Très bientôt, je vais prendre ma retraite, vivre à la campagne.
Voyager pour voir le monde. Ou encore cultiver mon jardin. Je m'intéresse beaucoup à l'amélioration des courges. Ce sont des légumes magnifiques mais qui manquent de saveur. Mais la question n'est pas là. II faut que vous sachiez qu'avant de me retirer je me suis imposé l'accomplissement d'une certaine tâche. Je me suis fixé douze cas à résoudre. Pas un de plus, pas un de moins. Des «Travaux d'Hercule», en quelque sorte, si j'ose m'exprimer ainsi. Votre cas, sir Joseph, sera le premier des douze et c'est son peu d'importance qui me détermine à l'accepter, termina Poirot dans un soupir.
— Importance ?
— J'ai dit «peu d'importance». On a fait appel à moi pour des causes diverses, des meurtres, des morts inexplicables, des cambriolages, des vols de bijoux. C'est la première fois que l'on me demande d'élucider le mystère de l'enlèvement d'un pékinois.
Sir Joseph grogna.
— Vous me surprenez, dit-il. J'aurais parié que des centaines de femmes vous avaient déjà empoisonné avec leurs petits chiens-chiens.
— Et vous auriez eu raison. Mais c'est la première fois, en pareil cas, que je suis sollicité par le mari.
Sir Joseph apprécia la remarque et fit un clin d'œil entendu.
— Je commence à comprendre pourquoi vous m'avez été tant recommandé, monsieur Poirot.
Vous êtes très subtil.
— Si vous voulez bien, maintenant, me dire quels ont été les faits. Quand le chien a-t-il disparu ?
— II y a exactement une semaine.
— Et depuis lors, votre femme est sans doute dans un état épouvantable ?
Sir Joseph contempla Poirot avec attention.
— Vous ne me comprenez pas. Le chien a été restitué.
— Restitué ? Alors, pourquoi avoir fait appel à mes services ?
Le visage de sir Joseph s'empourpra.
— Parce que j'ai horreur de me faire es-croquer ! il y a une semaine que ce chien a été volé – escamoté dans Kensington Gardens où il se promenait avec la dame de compagnie de ma femme. Le lendemain, ma femme a reçu une lettre lui enjoignant de débourser deux cents livres ! Pour une sale bestiole piaillarde qui est toujours fourrée dans vos jambes !
— Et naturellement, vous n'étiez pas d'accord pour payer une pareille somme ?
— Bien sûr que non ! Et je ne l'aurais pas fait si j'avais su de quoi il retournait ! Milly, ma femme, le savait fort bien. (A suivre...)


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