Résumé de la 8e partie - Fettouma est également conseillée par sa mère d'accepter la solution de la coépouse, mais elle refuse. Dahbia se montre cette fois-ci intransigeante avec son fils. — Elle refuse le principe même de la coépouse. Arezki, lui, est toujours conciliant. — Il faut lui donner le temps de réfléchir. — C'est tout réfléchi, dit Dahbia. Elle regarde son fils et lance. — Eh bien, ce sera la répudiation ! De toute façon, pourquoi t'encombrer de deux femmes ? Il n'est pas sûr qu'elles s'entendent ! Arezki soupire. — Alors, c'est fini ? — Oui, dit Dahbia. Ne prends plus cet air triste : tu vas te remarier et, cette fois-ci, je te choisirai une fille qui te donnera de beaux enfants ! La répudiation est prononcée quelques jours après et Dahbia se met à chercher une autre épouse pour son fils. Ali tente d'intervenir dans le choix. — Cette fois-ci, nous lui choisirons une cousine. — Pas question, dit Dahbia. Comme Ali tente d'insister, elle lui dit. — Tu aurais répudié une de tes nièces ? Cela aurait été la rupture avec tes frères ! Il vaut mieux prendre une étrangère ! Elle voit plusieurs filles, avant de s'intéresser à l'une d'elles. — Elle a des frères et des sœurs ? — Oui, dit la mère. — Certains d'entre eux sont-ils mariés ? — Oui, dit encore la mère. — Ils ont des enfants. — Tous ont des enfants ! Et la femme éclate de rire. — Ce n'est pas parce que tu es tombée la première fois sur une femme stérile, que ce sera la même chose cette fois aussi ! — J'ai peur, avoue Dahbia. — Non, non, ma fille appartient à une famille où la stérilité n'a jamais existé ! Tu verras, ma fille te donnera de beaux enfants ! — Je vais parler à mon fils ! Elle lui en parle. Arezki, lui, est toujours triste de prendre une autre femme après Fettouma. — On t'a assuré qu'elle me donnera des enfants ? — Oui, bien sûr ! — Alors demande-la ! — Je voudrais que tu la voies ! — Ce n'est pas nécessaire ! (A suivre...)