Cette première enquête, désormais close, a révélé qu'environ 300 autres matches auraient été truqués à travers le monde. Ils font l'objet d'une enquête. M. Althans a mis en garde contre les conséquences d'un tel phénomène : des pertes pour les sociétés de paris sportifs et une atteinte à la crédibilité des clubs, des joueurs et du football en général. La nature internationale du problème est d'ailleurs notamment illustrée par l'affaire impliquant un homme d'affaires singapourien, Wilson Raj Perumal. Son nom avait été cité dans plusieurs affaires de corruption de premier plan, notamment en Afrique du Sud et au Zimbabwe, quand il a été condamné en Finlande en 2011 pour avoir acheté des joueurs du championnat national.