Alors que certains citoyens accusent l'administration et les pouvoirs publics de ne pas bouger le petit doigt pour tenter d'améliorer le quotidien des personnes démunies, d'autres incriminent la passivité du Mouvement associatif. Les rares associations existantes n'activent que pour gérer leurs propres intérêts. Elles sont, pour la plupart, carrément out. «Pas de campagne de sensibilisation, pas de mobilisation au profit des jeunes et des moins jeunes. Leurs soucis majeurs et de spéculer sur des subventions. Il est temps que cela change et que la société civile s'implique dans les affaires de la population de Tiaret», nous a avancé un cadre universitaire, rencontré à la Maison de culture de la wilaya de Tiaret.
