Après quinze ans de son démarrage, la Bourse d'Alger ne compte que 6 entreprises, dont 4 publiques, à sa cote et n'a réussi à attirer que quelques milliers d'actionnaires. Les règles et le système de cotation utilisés n'offrent pas le niveau de transparence, de fluidité et de liberté requis pour obtenir un minimum de liquidités. Et même si le gouvernement envisage d'intégrer 8 nouvelles sociétés du secteur public (Mobilis, CPA, Cosider Carrière, trois Cimenteries du Groupe GICA, la CAAR et Hydro-aménagement), pourra-t-il pour autant changer la donne et redynamiser l'activité boursière en Algérie ?