«Ce n?est qu?au cours de ces dernières années qu?on commence à distinguer, au sein de notre société, le pharmacien du reste du personnel d?une officine», affirme le président du Snapo. Et de préciser : «A l?indépendance, les pharmaciens diplômés étaient rares et les pharmacies, abandonnées par leurs propriétaires (pharmaciens français), furent converties en agences pharmaceutiques dirigées par la Pharmacie centrale algérienne (PCA) qui fut, par la suite, transformée en trois pharms : ENO, ENA et Encopharm, puis actuellement Endimed. Et toutes ces agences ont fonctionné pendant plus de quarante ans et continuent, pour la plupart, à tourner sans pharmaciens ce qui a nui à l?image du pharmacien.»