Résumé de la 1re partie C'est avec joie que Chris Bryson accepte l'invitation de Berdella de passer la nuit avec lui dans sa maison, lui qui est habitué aux chambres d'hôtel minables. Ils passèrent un moment à discuter dans la maison de Berdella. Puis Berdella proposa qu'ils montent au premier étage, où il y avait une télévision et un canapé confortable. Laissant passer Bryson devant lui dans l'escalier, Berdella le frappa à la tête et le jeune homme tomba, inconscient. Berdella en profita pour le photographier avec son polaroïd. C'était une de ses obsessions. Ces photos allaient également être des preuves irréfutables de sa culpabilité : Berdella gardait une riche documentation sur chacune de ses victimes. Durant les quatre jours qui avaient suivi, Bryson avait été torturé à maintes reprises. Berdella le frappa avec une matraque en acier et injecta dans plusieurs parties de son corps un tranquillisant pour animaux et des antibiotiques. Il attacha des fils électriques sur son corps, notamment ses testicules, et l'électrifia plusieurs fois. Il le viola, parfois jusqu'à trois fois dans la même journée. Au début de sa captivité, Bryson criait lorsque Berdella le violait et le tueur lui injecta du «Drano» dans la gorge, près de sa trachée. Il lui dit que s'il continuait à crier, il allait lui en injecter tant qu'il perdrait sa voix. Berdella enfonça également des tampons saturés d'alcool ou d'un produit chimique dans les yeux de Bryson. Il l'avait attaché à la tête du lit et l'avait drogué pour qu'il ne puisse pas s'enfuir. Il lui montra des photographies d'hommes qui avaient été dans la même situation que lui auparavant et n'avaient pas voulu «coopérer». Il expliqua à Bryson qu'ils étaient morts et que ses chiens les avaient mangés. Ce n'était pas si loin de la vérité, et Bryson, de toute façon, crut tout ce que lui dit Berdella. Il était terrifié. Il pensait qu'il ne verrait plus jamais sa famille, mais il continuait à réfléchir à un moyen de s'en sortir vivant. Berdella venait et partait silencieusement, et laissait Bryson, drogué et ahuri, incapable de savoir si Berdella était dans la maison ou dehors. Le jour où Bryson s'enfuit, il n'était pas sûr que Berdella était parti. Bryson avait été «coopératif» et avait ainsi été autorisé à tenir la télécommande entre ses genoux avec ses mains et ce, même s'il était toujours attaché. Il mit le volume de la télévision à fond pour savoir si Berdella était là. Il ne vint pas se plaindre du bruit. Bryson pouvait donc tenter de s'enfuir. De plus, les liens de ses mains étaient plus lâches que d'habitude. Bryson, en remerciement de sa «coopération» avait également reçu une cigarette. Berdella avait jeté les allumettes sur le lit. (à suivre...)