Un jour d'avril 1975, juste après Pâques, Mme Anne Poore, de Boothwynen (Pennsylvanie), était en train de prier pour les brebis égarées. Elle était agenouillée en face d'une statue en plâtre de 66 cm de haut représentant le Christ. Soudain, je levai les yeux vers la statue, déclara-t-elle plus tard aux journalistes venus l'interroger. Et mon c?ur cessa de battre : deux gouttes de sang, rouges comme des rubis, venaient d'apparaître sur les blessures des mains de la statue en plâtre. J'étais terrifiée. Je voyais bien que c'était du vrai sang. depuis ce jour-là, j'ai vu du sang couler des plaies de cette statue des douzaines de fois. De nos jours, la mode veut que l'on ne croie pas à ce genre de choses, ou plutôt on préfère croire que de telles choses n'arrivent pas. On les considère comme des survivances, déplorables à une époque scientifique, des croyances d'un autre âge. Mais il existe pourtant de véritables preuves que de telles choses se produisent... Dans les années cinquante, le physicien italien Piero Casoli se lança dans une longue étude sur les madones qui pleurent. Il en arriva à la conclusion que des phénomènes du même ordre se produisaient en moyenne deux fois par an dans la seule Italie ! Et le Fortean Times britannique a pu faire état de multiples cas de ce genre, dans de nombreux autres pays à travers les âges. En 1527 à Rome, une statue du Christ se mit à pleurer toutes les larmes de son «corps». Cela fut considéré comme un mauvais présage. En juillet 1966, à Londres, un crucifix répandit des larmes pendant trente jours. En décembre 1960, une statue de l'église grecque orthodoxe de Tarpon Springs (Floride) se mit, elle aussi, à verser quelques larmes. Et en janvier 1981, une statue de la Vierge Marie à Caltanisetta (Sicile), commença à saigner de la joue droite, après avoir pleuré en 1974. Certains cas sont particulièrement troublants. Ainsi, le soir du 16 mars 1960, un portrait de la Vierge Marie commença à pleurer derrière son cadre recouvert d'une plaque de verre. Cette madone appartenait à Mrs Pagora Catsounis de New York qui appela immédiatement le père George Papadeas de l'église orthodoxe grecque Saint-Paul, à Hempstead. Ce dernier déclara : «Lorsque j'arrivai, une larme était en train de sécher au-dessous de l'?il gauche. Puis, juste avant que nous ne terminions nos dévotions. je vis une autre larme dans son ?il gauche.» (à suivre...)