n «La volonté est certes affichée, mais il y a problème de mise en œuvre», estime l'ex-ministre des Finances qui cite l'exemple des souks el-fellah fermés depuis des années. «Le souk el-fellah du Ruisseau au niveau de la capitale n'a été ni offert comme structure d'utilité publique ni cédé à un investisseur algérien.» Pour Harchaoui, l'autre danger de la privatisation est la prééminence du capital étranger dans les entreprises acquises. «Au moindre problème, il partira.»