«Samsung a su reconnaître l'immense potentiel de l'Algérie en matière de téléphonie mobile et c'est dans cette optique que nous allons continuer notre engagement», a fait savoir M. Seung-Ho Yun, le nouveau boss du bureau de liaison d'Alger de la firme sud-coréenne, hier, lors d'une soirée-gala au Sofitel. Ayant confortablement pris place dans un marché où plusieurs équipementiers se disputent une rude concurrence, Samsung tend, après sept ans d'existence en Algérie, «à devenir la marque la plus appréciée des Algériens», a encore promis M. Yun. Les atouts ne manqueront pas. «Une technologie performante, un design attractif et un volet multimédia toujours innovant», a-t-il énuméré, non sans rappeler que «la quête du leadership n'est point une sinécure» devant des concurrents aux arguments valables. Logé actuellement en seconde position en matière de vente de téléphones portables en Algérie, Samsung compte «déployer la même force qui lui a permis de rester solide deuxième, pour briller encore plus» a assuré, en outre, l'intervenant. Fraîchement intronisé, M. Yun a, en outre, affirmé que Samsung continuera à accompagner ses revendeurs agréés dans l'habillement des boutiques de nature «à veiller à la réussite d'un label qui se veut charmeur». Mieux encore, l'année 2008, sera pour Samsung, «celle de tous les challenges», estime-t-il. Il est prévu, en effet, l'avènement de la 3G avec des fonctionnalités aussi innovantes qu'inventives, ainsi qu' «un petit bijou» nommé G820 dont la particularité, outre ses atouts en termes de multimédia, est de permettre à son détenteur d'y introduire deux cartes Sim en même temps. Mais la réussite, comme aiment à la définir les responsables de la firme sud-coréenne, n'est pas uniquement synonyme d'introduction de nouveautés et d'élaboration d'un marketing porteur. Elle passe aussi et impérativement par «une lutte implacable du marché noir qui gangrène le monde de la téléphonie mobile». A ce propos justement, le nouveau DG ainsi que l'ensemble de son équipe exhortent les clients à ne pas céder aux sirènes de l'informel et «à acheter avec garantie».