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Une ville, une histoire
Mariages à l'algérienne (30e partie)
Publié dans Info Soir le 04 - 02 - 2008

Résumé de la 29e partie n Arezki appartient à une famille composée du père, Ali, de la mère, Dahbia, et de quatre frères, tous mariés, vivant encore sous le régime de l'indivision.
La stérilité est l'un des motifs majeurs des divorces. Même quand un homme aime une femme, il ne peut rester avec elle, toute sa vie. Un homme comme une femme, bien sûr, c'est fait pour avoir des enfants, pour perpétuer le nom et avoir des héritiers. Tout ce que l'homme pouvait faire quand il ne voulait pas se séparer de sa femme, c'était de prendre une autre femme.
Mais beaucoup, à moins de ne pas avoir de parents chez qui trouver refuge, n'acceptent pas cette solution. Elles préfèrent partir et tenter leur chance ailleurs. Il est symptomatique que dans ces affaires de stérilité, autrefois, la femme soit toujours accusée. Deux ou trois années après le mariage, on la répudie. Dans beaucoup de cas, c'est la femme qui est effectivement stérile et il suffit que le mari prenne une autre épouse pour le voir devenir père, mais dans d'autres cas, même quand l'époux se remarie, la situation est la même !
Arezki appartient à une famille composée du père, Ali, de la mère, Dahbia, et de quatre frères, tous mariés, mais qui vivent encore sous le régime de l'indivision.
A vingt ans, sa mère lui dit :
— il est temps de te marier !
Il est vrai qu'il travaille et qu'à cet âge, la plupart des garçons se marient. De toute façon, il n'y avait pas un problème de logement, puisque on habitait dans la maison commune où chacun avait sa chambre… Et puis, plus tard, quand la division se produisait, on aidait chacun à construire sa maison.
En principe, Dahbia choisissait, elle-même, sa belle-fille, mais elle préféra laisser le choix à son fils.
— voilà plusieurs filles que je te propose…
Elle lui propose des cousines paternelles — le meilleur des choix, selon Dahbia —, mais aussi d'autres filles.
Arezki hésite, puis se décide.
— va pour la fille de si Mohammed…
Elle n'a aucun lien de parenté avec lui, mais elle lui plaît.
— c'est celle-là que tu veux ?
Arezki baisse la tête.
— puisque tu la veux…
Le père, Ali, n'apprécie pas le choix. Il aurait voulu que ce soit une de ses nièces, puisque on a cette habitude de se marier dans la famille.
— pourquoi ne choisit-il pas une de ses cousines ?
— il veut se marier hors de la famille !
— ce n'est pas un bon choix !
Mais Dahbia sait défendre son fils.
— c'est son droit de se marier avec qui il veut… Et puis, la famille peut poser des problèmes qu'une étrangère ne poserait pas !
L'affaire est donc entendue et on demande la fille qu'Arezki veut épouser. (à suivre...)


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