Résumé de la 48e partie n La femme de Salim ainsi que ses enfants sont inquiets, il n'est pas rentré. Samia s'est rappelé le numéro d'un «collègue». Elle ignore que c'est celui de Nadia. Amine, qui ne comprend pas ce qui se passe, regarde sa mère. — c'est une jeune fille ! — c'est la fille du collègue de ton père ! — non, dit l'adolescent, je lui ai posé la question, ce n'est pas la fille du collègue de papa ! — s'il te plaît, passe-moi le téléphone ! Il le lui passe. Chez Nadia, Sihem frappe à la porte. — oui ? dit Nadia. — téléphone… Elle se lève, entrebâille la porte et prend le téléphone. — Allô ? Salim s'interroge. — qui t'appelle ? Samia l'a entendu. — c'est moi, dit-elle. — vous ? Qui êtes- vous ? — passez-moi Salim ? — Qui veut parler à Salim ? Salim tend l'oreille. — c'est sa femme ! — sa femme ! s'exclame Nadia. Samia entend clairement Salim chuchoter : — ne me la passe pas ! Nadia hésite. — euh… je ne connais pas ce Salim dont vous parlez… — comment, une jeune fille vient de nous dire qu'il est là ! — vous vous trompez ! — passez-moi mon mari… — je ne connais pas votre mari ! Tout à coup, Salim change de ton. — passe-la moi ! Nadia, surprise, lui passe le téléphone. — Allô, que veux-tu ? Et puis, qui t'a donné ce numéro de téléphone ? — nous nous inquiétions pour toi… — ce n'est pas une raison pour m'importuner ! Je suis chez un collègue. Samia éclate en sanglots. — ah, oui, tu es chez un collègue ! Pourquoi n'avoues-tu pas que tu es chez ta maîtresse ? Tu n'es qu'un traître… — ecoute-moi… — je ne veux plus t'entendre (à suivre...)