Résumé de la 58e partie n Salim demande pardon à sa femme et à sa fille. Il va au chevet de son fils dans le coma, et promet de reprendre la vie d'autrefois. Il envoie Fériel chez ses grands-parents et eux restent au chevet de leur fils. Ils vont rester là quelques jours. La situation d'Amine s'améliore et, un matin, alors qu'ils lui font la conversation, Amine ouvre les yeux. Samia s'écrie. — il a ouvert les yeux ! Salim en tremblant prend la main du jeune homme. — Amine… — papa… Il regarde sa mère. — Maman… Samia et Salim l'enlacent. — Tu reviens… tu reviens ! L'adolescent sourit. — Pardon, mais je ne pouvais pas supporter de vous perdre ! — Tu ne nous perdras pas ! — C'est vrai, vous n'allez pas divorcer ? — Non, non ! Encore affaibli, il prend les mains de ses parents et les met l'une dans l'autre. — Et cette femme ? — C'est une erreur… une erreur de jeunesse… — N'en parle plus, dit Samia. — Tu es sûr de ne plus la revoir ? — Oui… Salim regarde son fils. — Tu en veux la preuve ? — Oui, dit le jeune homme. Salim prend son téléphone. Il met le microphone et compose le numéro de Nadia. — Allô… — Ah, c'est toi… j'attendais ton coup de fil… Comment est ton fils ? — Il s'est réveillé. Je lui ai promis que je ne le quitterai jamais plus, ni ma fille ni ma femme ! Il y a un silence derrière la ligne. — Allô, tu m'entends, entre toi et moi, c'est fini ! — On t'a tourné la tête ! Mais je sais que tu me reviendras ! — Non, jamais ! Nadia se fâche. — Tu n'es qu'un traître… — Et toi, ne m'as-tu pas trahi, quand nous étions jeunes ? — N'évoque plus le passé ! — Tu as raison, le passé est mort et notre amour avec ! j'aime ma femme et mes enfants ! Et il raccroche. Amine sourit. — Maintenant, je sais que tu nous es revenu !